

Édition régionale
Ouvrier agricole, restaurateur, garçon boucher, maçon-couvreur, employé de banque, animateur d’un comité d’entreprise, conseiller social … Stéphane Rabbe n’a pas eu de nombreuses vies, il a simplement joué de nombreuses partitions de sa vie. Mais il essaie toujours de jouer sérieusement Il a beaucoup aimé jouer dans les cours sociales, syndicales, municipales, démocratiques, humanitaires, solidaires, sans oublier les cours associatives, un peu de sport, un peu de théâtre, un peu de musique. Et il a plutôt bien interprété sa partition de papa, de grand-papa aussi. Son jeu préféré, c’est certainement créer, donner un élan nouveau. Alors maintenant qu’il a tout son temps, il joue à être éditeur littéraire, ou bien fondateur de festival. Et l’écriture dans tout ça ? Petit, il ne comprenait pas pourquoi ses frères et sœurs passaient tant de temps à feuilleter des livres. Hormis l’intégrale de San Antonio et les lectures scolaires obligatoires, son champ littéraire était très restreint. Et puis les rencontres, les hasards lui ont fait découvrir les joies de la lecture, et voilà que naturellement il joue à écrire.
Quand je serai vieille
Le Jaseur boréalSon premier roman « Quand je serai vieille », c’est une tranche de vie, ou plutôt deux périodes de vie d’une femme qui très jeune a décidé d’éliminer tous les importuns, ceux qui ne vivent que pour eux-mêmes, ceux dont les œillères sont braquées sur leur propre nombril… ou trop souvent sous le nombril des femmes. Son entourage, ses rencontres, ses retrouvailles plus ou moins heureuses pourraient lui offrir l’opportunité de mettre ses plans à exécution. La seule incertitude est de savoir si elle trouvera la force et le courage de saisir les occasions qui se présentent à elle. « Quand je serai vieille » est une histoire brouillonne et drôle, qui fait rire et qui nous invite à réfléchir aux relations entre les hommes et les femmes.
Présent(e) sur le salon :
Vendredi 19 septembre | |
Samedi 20 septembre | |
Dimanche 21 septembre |