Littérature générale

Qui se cache derrière le seul premier roman, que nous élisons chaque année à l’Iconoclaste, pour représenter la jeune génération d’écrivains, lors de la rentrée littéraire ? Lorsqu’il nous est parvenu, le manuscrit de Joséphine Tassy affichait déjà ce titre surprenant, L’indésir, et d’emblée nous avons été séduit.e.s par l’audace de son écriture et de son sujet. Et puis nous l’avons rencontrée. À 25 ans, parisienne d’origine marseillaise et martiniquaise, elle voyage, aime étudier selon ses envies, aussi bien les politiques publiques que le swahili, l’histoire de l’art, la finance, les sciences cognitives. Elle est aujourd’hui chercheuse en économie du développement. On sent dans L’indésir l’influence des lectures, les nouvelles de Salinger, le roman philosophique avec Hermann Hesse, le théâtre de Tennessee Williams et la poésie amoureuse d’Aragon.

L'indésir

L'Iconoclaste

Perdre sa mère et ne rien sentir Nuria vient de perdre sa mère. C’est Maja, sa grand-mère, qui l’a prévenue. Il était 3 heures du matin quand elle a reçu son appel. Nuria rentrait de boîte, un garçon qu’elle a ramené chez elle dort sur son canapé. Ce soir, elle ne couchera pas avec lui, et, quand elle raccroche, elle reste de marbre. Pourquoi cette carapace entre elle et le monde ?

Présent sur le salon :

Vendredi 15 septembre
Samedi 16 septembre
Dimanche 17 septembre
Lieu : Place de la Révolution

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